Annuellement, près de 1,3 million de gens décèdent dans un accident de la route. On recueille en plus de 20 à 50 millions de blessés. Bon nombre d’entre eux portent une invalidité à vie après leurs blessures. Les accidents de la route causent des pertes économiques importantes pour les pays dans leur ensemble, les victimes et leur proche.
Qui doit y faire face
Plus de 90 % des morts sur les routes se passent dans les contrées à revenu intermédiaire ou faible. Par ailleurs, c’est dans la région africaine que le pourcentage de mortalité par accidents de la route s’avère le plus important. Les gens faisant partie des classes socio-économiques défavorisées peuvent plus être inclus dans un accident de la route. Et ce, même dans les contrées à revenu important.
Les accidents de la route représentent la première origine de mortalité pour les jeunes et les gamins de cinq à 29 ans. À partir de leur jeune âge, les hommes peuvent plus que les femmes être mêlés à un accident de la route. Environ trois quarts (73 %) morts sur les routes semblent des hommes de moins de 25 ans. Ces derniers sont trois fois plus exposés aux risques de perdre la vie dans un accident de voiture que les jeunes femmes. Pour plus d’informations, jetez un œil sur avocat-circulation.ch !
Vitesse, un facteur de risque
- Il existe un lien direct entre la probabilité à la fois d’un accident et la gravité de ses conséquences. Sans oublier, l’augmentation de la vitesse moyenne. À titre d’exemple, l’augmentation de 1 km/heure de la vitesse moyenne d’un véhicule engendre une montée de 4 % de l’incidence des accidents mortels. Il existe également une hausse de 3 % de l’incidence des accidents causant des blessés graves.
- En cas de choc latéral entre deux véhicules, la menace mortelle pour les passagers s’avère de 85 % à 65 km/h.
- La menace de mourir pour un piéton cogné par l’avant d’une voiture monte promptement. Elle est amplifiée par 4,5 de 50 à 65 km/h.
Voitures menaçantes
Concernant les voitures, la sécurité représente une mission primordiale afin d’échapper aux accidents et diminuer la probabilité d’un traumatisme grave. Un certain nombre de règles des Nations Unies sur la sécurité des véhicules est disponible. Si elles ont été employées au niveau des normes de production et de fabrication dans les contrées, elles pourraient préserver plusieurs vies. Par exemple, c’est imposer aux fabricants de véhicules la conformité aux réglementations pour les chocs latéraux ou frontaux.
Cela comprend également la pose des airbags et des ceintures de sécurité dans l’ensemble des véhicules et l’inclusion du contrôle électronique de stabilité. Celle-ci permet la vérification de la trajectoire. Sans ces normes fondamentales, la menace de traumatisme en cas d’accident, monte intensément. Cela concerne en même temps les personnes à l’extérieur et les passagers du véhicule.
Manque de soins suite à un accident
Les retards dans le repère des accidents et la proposition des soins aux blessés font monter l’intensité des traumatismes. Le temps a beaucoup d’impact sur les traitements aux blessés suite à un accident. Des retards de quelques minutes uniquement peuvent déduire l’écart entre la mort et la survie. Afin de perfectionner les soins suite à un accident, il est essentiel d’assurer l’accès à des soins préhospitaliers prompts ;
